4000 semaines dans une vie (dont 2 à Poznan)

En avoir enfin terminé avec le travail, ne serait-ce que temporairement, c'est se retrouver avec beaucoup de temps libre. Face à cette confrontation à soi-même et le stress que peux engendrer cette liberté, Oliver Burkeman nous rappelle que quels que soient les choix que nous faisons pour mettre à profit le temps limité que nous offre la vie, il y en a une infinité que nous avons écartée. La morale étant que vu qu'on passe de toute façon à côté d'à peu près tout, le peu qu'on arrive à caser dans une journée est bien assez. Bien que son livre mérite sa place dans l'étage "philosophie à deux balles" de ma bibliothèque, il offre l'opportunité aux procrastinateurs en puissance (qui se reconnaitront) de pousser la logique un peu plus loin : sur les millions de choses non réalisées aujourd'hui, c'est pas deux ou trois de moins qui vont changer la donne. Julie et moi étant soucieux de maximiser le rendement de notre temps, nous passons des heures all...